- "Chaque vérité passe par trois étapes. Tout d'abord, elle est ridiculisée. Ensuite, elle est violemment opposée. Et enfin, elle est acceptée comme étant évidente." Arthur Schopenhauer, philosophe allemand (1788 - 1860)
- "Il n'y a que deux erreurs que l'on puisse commettre sur le chemin de la Vérité : ne pas aller jusqu'au bout, et ne pas s'y engager" Siddharta Gautama Shakyamuni (le Bouddha)
- "Les révolutionnaires ne sont pas des révoltés, ils sont la lueur de l'évolution, non le vent de la destruction.'' (par moi, avril 2009)
- "Les patriotes sont toujours prêts à défendre leur pays, surtout contre leur propre gouvernement qui détruit le pays pour son propre profit.'' (par moi, avril 2009)
4/02/2009
LE NOUVEL ORDRE MONDIAL OFFICIEL Conférence du G-20 à 14:11 le 2 avril 2009
Par ailleurs, les pays du G20 se sont mis d'accord pour mettre en oeuvre de "nouvelles règles" sur les salaires et les bonus des dirigeants au niveau mondial.
Un conflit était apparu ces derniers jours entre pays européens soucieux de mettre en oeuvre prioritairement une réforme de la régulation financière, et les Etats-Unis qui prônaient de nouveaux engagements de relance de la part de leurs partenaires. Mais ces divergences ont été totalement lissées dans le communiqué final.
M. Brown a considéré que ce sommet marquait la naissance d'un "nouvel ordre mondial" émergeant de la crise économique, saluant "le jour où le monde s'est mis ensemble pour combattre la récession".
"Nous partons du principe que la prospérité est indivisible que la croissance pour être durable doit être partagée (...)". Nous pensons que la seule fondation sûre d'une mondialisation soutenable et l'augmentation de la prospérité pour tous est une économie ouverte fondée sur le principes de marché, une régulation efficace et des institutions mondiales solides", affirme le communiqué.
La plupart des dirigeants se sont montrés très satisfaits de l'issue des débats. Le président Nicolas Sarkozy s'est déclaré "heureux" que ce sommet soit allé "au-delà de ce que nous pouvions imaginer".
Par ailleurs, les pays du G20 se sont mis d'accord pour mettre en oeuvre de "nouvelles règles" sur les salaires et les bonus des dirigeants au niveau mondial.
Un conflit était apparu ces derniers jours entre pays européens soucieux de mettre en oeuvre prioritairement une réforme de la régulation financière, et les Etats-Unis qui prônaient de nouveaux engagements de relance de la part de leurs partenaires. Mais ces divergences ont été totalement lissées dans le communiqué final.
M. Brown a considéré que ce sommet marquait la naissance d'un "nouvel ordre mondial" émergeant de la crise économique, saluant "le jour où le monde s'est mis ensemble pour combattre la récession".
"Nous partons du principe que la prospérité est indivisible que la croissance pour être durable doit être partagée (...)". Nous pensons que la seule fondation sûre d'une mondialisation soutenable et l'augmentation de la prospérité pour tous est une économie ouverte fondée sur le principes de marché, une régulation efficace et des institutions mondiales solides", affirme le communiqué.
La plupart des dirigeants se sont montrés très satisfaits de l'issue des débats. Le président Nicolas Sarkozy s'est déclaré "heureux" que ce sommet soit allé "au-delà de ce que nous pouvions imaginer".